Mary Dolce descend les escaliers

Mary Dolce descend les escaliers et aperçoit Clara...

- Clara! Oh... (faussement souriante) quel bon vent vous emmène ce matin ?

Clara croise les bras.

- Mary Dolce, vous et moi devons avoir une sérieuse discussion.

Ricardo descend en fermant son peignoir.

-Oh non encore toi!!

(voix off)J'aurais préféré cette vieille peau.

Il n'est pas enchanté de trouver Clara devant sa porte. Il s'approche près de sa femme.

-Qu'est-ce que tu veux ? Je t'avais pourtant prévenu non ? Je ne veux pas te voir dans cette résidence.

- Ricardo! Je t'en prie! Nous devons tous discuter ensemble. Nous formons une famille.

Elle le supplie du regard.

Ricardo se met à rire d'une force incroyable.

-Une famille ? Mais quelle famille ?

Clara soupire...

- Mais enfin ! TOI, MOI, Mary Dolce et LUIGI !!!

-Heyps. Non...Non...Non. Mary Dolce, Luigi et moi formons une famille. Nuance. Mets le toi bien ça dans la tête, et dès ce soir, je vais nous installer un garde à l'entrer pour t'empêcher de nous importuner!

Mary Dolce est effrayée par le comportement de son mari...

- Mais enfin, Ricardo! Regarde la, la pauvre! Dis-lui que tu plaisantes !!!

Il regarde sa femme.

-Tu vois que j'ai une tête à plaisanter.

Puis il se retourne vers Clara.

-Qu'est-ce que je t'ai toujours dis ? On aura strictement des rapports professionnels. En dehors du travail, aucune relation. On est rien l'un pour l'autre. Alors maintenant s'il te plaît va-t'en!! Je n'ai vraiment pas envie de le répéter. Et je n'ai pas envie que mon fils puisse te voir ici.

Clara s'agrippe à Mary Dolce, elle se jette sur les genoux.

- TU N'ES QU'UN SALE TYRAN ? Tu veux m'empêcher de voir mon fils ? TU n'as aucun droit de faire ça !!! Tu es un monstre! Je vais appeler la POLICE! DES AVOCATS !

Ricardo regarde sa femme embarassé.

-Ecoute moi, je ne te sépare pas de ton fils. Si tu veux le voir, tu le vois en dehors de notre maison.

Il s'éloigne des deux femmes, et va dans l'autre pièce.

-Puisque tu es là, tu n'as qu'a entrer pour dire ce que tu as à nous dire. Je te donne 5 minutes, top chrono.

Il cherche sa montre, et la trouve. Et la montre à Clara pour lui montrer qu'elle n'a que 5 minutes.

Clara soupire...

- Bon, que tu veuilles de l'intimité avec ta femme, je peux comprendre! Que tu la veuilles en sécurité, également. Mais je comprends pas pourquoi tu tiens tant à m'exclure de la famille? Je veux dire, si je te permets ça, ça n'aura plus de fin... Il va falloir célébrer Noël deux fois? Et les anniversaires ?

-Je ne pense pas que notre fils seras à Meadows pour Noël. Donc pour Noël, on ne risque pas de le célébrer ensemble.

Il s'arrête un instant.

-Ensuite concernant l'anniversaire de notre fils, on peut faire une exeption. Vu que son anniversaire est dans trois semaines.
Voila. Tu as trouver réponses à tes questions. Maintenant tu peux partir.

- Tu ne veux pas que Luigi fasse son unversité ici, hum? Pourquoi donc? On dirait que tu ne veux pas l'avoir dans les pattes !

-Je veux le bien de Luigi. Et je l'ai décidé. Il fera une très grande école prestigieuse qui ne prend que les meilleures. Et ce n'est surement pas de ma faute, si cette école ne se trouve pas à Meadows.
(sur un ton sec)Et puis je ne vois pas pourquoi je dois me justifier. Je suis son père!
D'ailleurs, il faut que je contacte son ancienne école pour régler quelques détails.

- TU VOIS? Tu m'exclues encore de ce genre de décisions ??? !!!

Clara s'approche de Ricardo, lui lance un regard menaçant et commence à s'énerver.

- Je te jure que ça ne restera pas comme ça !!! Je suis la mère de LUIGI! Tu n'as aucun droit de ne pas me concerter à propos de décisions importantes concernant son ÉDUCATION! TOI! Et ton orgueil de mafieux italien !!!

Ricardo sourit.

-Je le prend pour un compliment. Mais sache le, que si tu ne veux pas que ton fils devienne, un pourris, un râté de seconde zone, tu dois me laisser faire. C'est pour son bien que je le fais.
Et ne prend pas cette aire avec moi! Ca ne marche pas. Luigi et moi, nous sommes sur la même longueur d'onde. Il est tout à fait d'accord. Donc tu n'as aucun mot à dire sur ce sujet.
Le débat est clos.Tu peux t'en aller. A moins que tu es autre chose inutile à me dire ?

Clara s'enrage.

- Écoute-moi bien espèce de sale crapule ... En aucun cas je te laisserai manipuler notre unique fils ! Je ne te laisserai jamais faire de lui ton petit clone ou quelqu'un modelé à ton image !!! Et si tu crois que je vais laisser ça faire, et bien tu te trompes !!! Je ferai tout en mon possible pour te mettre des bâtons dans les roues!!! Et tu devras me passer sur le corps !!! NON rien de trop grave ne peut être commis pour mon fils !!! Que ma haine m'emporte dans la tombe s'il le faut !!! SOIS MAUDIT !!!!

Elle claque la porte.

Mary Dolce, sur le choc, regarde son mari...

- Whoa... tu es un vrai tyran. Je vois que tu as pris au sérieux mon avertissement concernant l'omniprésence de Clara dans nos vies.

Il va vers sa femme et lui donne un baiser.

-Ma chérie, je ferai tout pour toi. Et ne t'inquiète pas. Clara j'en fais mon affaire. J'ai été marié avec elle, c'est comme si, c'est moi qui l'avais fait. Mais ne parlons pas d'elle.

Il prend sa femme par la taille et lui donne des petits baisers dans le cou.

-Et si on se concentrait sur nous deux, et sur ce qu'on allait faire avant qu'on ne sonne. Ca te dirait !!!

- Oh mon coeur... ça me ferait tellement plaisir, seulement...

Elle prend une grande respiration.

- ... avec le mariage et tout, j'ai pris du retard au bureau. Je voulais aller y travailler ce matin. Si ça ne te dérange pas trop certes...

Elle l'enlace.

- J'apprécie les efforts que tu fais pour notre mariage. Je ne comprends pas pourquoi Clara ne comprend pas. Tu ne veux pas l'effacer de la vie de son fils, tu veux uniquement qu'elle cesse de nous visiter sans prévenir.

Ricardo est déçu. Mais continue toujours d'embrasser sa femme.

-Ne parlons plus d'elle. Tu me rends fou dès que je pose le regard sur toi.

Il lâche sa femme, et s'en éloigne.

-Je fais des efforts, mais toi aussi faudrait en faire. Ca va faire plus d'une semaine que toi et moi ... Tu vois quoi ...

Il se rapproche.

-Maintenant que ce fichue mariage est célébrer, ma petite femme s'occupera t-elle de son cher et tendre mari adoré ?

Il lui fait une petite mou pour rigoler.

- Tu m'excites tellement quand tu fais ça !!!

Mary Dolce se jette sur lui et l'embrasse passionément.

- PRENDS MOI MAINTENANT !!!! PÉNÈTRE-MOI !!! FAIS MOI CRIER !!!! Je ne me peux plus de désir !

Elle déchire le bas de sa robe et on peut y voir de sexy jaretelles rouges.

-Grrr ma tigresse, j'adore quand tu es comme ça.

Il prend sa femme par surprise. Et monte les escaliers pour qu'ils aillent dans leur chambre.

-Je te ferai grimper au septième ciel.